jeudi

Femme.

Femme, douce alvéole lovée sur mes rêves imprudents, je vous retrouve, au hasard, comme je vous ai quitté.
Toute auréolée de ce mystère au parfum sur-humain, une essence rare, et fragile fragrance sur vos seins voluptueux, j'enferme au creux de ma paume ce qui fait de vous la seule que mon imagination ne puisse posséder -mes bras tendus vers ce que je ne saurai étreindre sans crainte de vous y étouffer, et détruire la beauté même de ce monde qui, seule, m'y fait exister.

3 commentaires:

Anonyme a dit…

je t'ai retrouvée. tu te cachais bien mais c'est raté ^^ et toc

Anonyme a dit…

C'est quand même dur de te suivre. Epure un petit peu ton style.

Anonyme a dit…

non ne rien enlever à ce style !