à mourir pour que dalle,
j'aurais tôt fait de te rejoindre
frère du monde, qui renait sous le feu des balles
et la poussière des cendres
j'aurais tôt fait de t'offrir ma mémoire
des chemins de traverse avec mes histoires,
car si jamais ton sourire et tes yeux clos
éclairaient le chemin à nouveau,
la mort pour que dalle, frère de peau,
j'aurais tôt fait de lui tourner le dos.
dimanche
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire